Ex-collection française. On retrouvait la civilisation Sao dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le Cameroun et le Nigeria. Il s'agit en réalité de l'une des plus anciennes civilisations de l'Ouest africain. Soumis aux assauts successifs de leurs voisins du Kanem puis à des hordes venues de l'Est, les Sao durent abandonner leurs terres pour s'installer au Nord-Ouest du Cameroun où ils se métissèrent avec les indègenes donnant ainsi naissance à une ethnie nommée Kotoko. Leurs descendants, Bakoko, Beti, Peuls et Laobés, bien qu'islamisés de longue date, ont conservé des rituels païens animistes normalement incompatibles avec l'Islam. En effet, certains rendent encore aujourd'hui un culte à l'esprit de l'eau, à certains arbres et certaines pierres. ...
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Ex-collection art africain espagnole.Utilisé comme une amulette créditée de vertus apotropaïques, cette petite sculpture en bronze constitue, pour les Sao, un talisman censé les protéger de la folie. Il est donc porté en permanence. Le génie qui possèderait le fou est représenté par le cavalier, le cheval figurant la victime. Ce cavalier aux formes minimalistes chevauche un équidé qui constituait un rare attribut de prestige dans ces régions du Sahel. Accompagné d'un socle en métal. Patine dorée cuivrée. Les Sao, ancêtres des Kotoko, étaient établis,entre le XIIe et le XIVe siècle dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le nord Cameroun et le Nigeria. Ils se sont établis sur des collines , ce qui leur permettait de repousser les envahisseurs. ...
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Vendu
Ex-collection art africain belge. Plus qu'une ethnie, les Sao sont une civilisation aujourd'hui disparue. Les découvertes archéologiques témoignent d'une civilisation hautement prodigue matériellement. Très connus pour leurs cavaliers en bronze, il existe une variante, le chamelier. Animal incontournable des plaines désertiques. Rien n'est réaliste dans cette figurine, tout doit être compris de manière symbolique. Chez les Kotoko du Tchad, elle était destinée à un culte de possession. Selon Luc de Heusch, "la possession est un des modes d'approche du sacré par le moyen de techniques corporelles débouchant sur l'extase". Elle peut être interprétée comme l'irruption chez un homme ou une femme d'un esprit en quête de serviteur. Un prê¬tre ou devin devra intervenir pour aider la ...
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Ex-collection art africain française.Utilisé comme une amulette créditée de vertus apotropaïques, cette petite sculpture en bronze constitue, pour les Sao, un talisman censé les protéger de la folie. Il est donc porté en permanence. Le génie qui possèderait le fou est représenté par le cavalier, le cheval figurant la victime. Ce cavalier coiffé d'un chèche chevauche un équidé qui constituait un rare attribut de prestige dans ces régions du Sahel. Accompagné d'un socle en plexi. Patine dorée cuivrée. Les Sao, ancêtres des Kotoko, étaient établis,entre le XIIe et le XIVe siècle dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le nord Cameroun et le Nigeria. Ils se sont établis sur des collines , ce qui leur permettait de repousser les envahisseurs. La ...
Vendu à 95,00 € Trouver un objet similaire
Ex-collection art tribal française.Les Sao, au sud du lac Tchad, sont les ancêtres des Kotoko, dont l'art est prisé par les amateurs d'art africain. Ils se sont établis sur des collines , ce qui leur permettait de repousser les envahisseurs. Ces cavaliers coiffés d'un chèche chevauchent une monture qui constituait un rare attribut de prestige dans ces régions du Sahel. Utilisé comme une amulette créditée de vertus apotropaïques, cet objet à valeur de talisman était porté durant les crises de possession. Les Sao étaient établis,entre le XIIe et le XIVe siècle,dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le Cameroun et le Nigeria. La fonte à la cire perdue était déjà couramment pratiquée dès le XIIe siècle par cette ethnie africaine, qui produisait ...
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Les Sao, au sud du lac Tchad, sont les ancêtres des Kotoko, dont l'art est fort prisé par les amateurs d'art africain. Ils se sont établis sur des collines , ce qui leur permettait de repousser les envahisseurs. Petit cavalier à la patine foncée laissant apparaître des traces cuivrées, coiffé d'un chèche, un bouclier dans la main droite, une lance dans la main gauche, il chevauche une monture parée de décorations tribales. Utilisé comme une amulette créditée de vertus apotropaïques, elle était portée durant les crises de possession. Les Sao étaient établis,entre le XIIe et le XIVe siècle,dans une zone géographique s'étendant sur les frontières entre le Tchad, le Cameroun et le Nigeria. La fonte à la cire perdue était déjà couramment pratiquée dès le XIIe siècle par cette ethnie ...
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Ex collection privée française d'art africain. Les œuvres d’inspiration sao kotoko sont majoritairement empreintes du monde équestre. Au sein de l’ethnie, de petits exemplaires de cavaliers généralement en bronze sont fondus et portés comme des talismans. Ils sont considérés avant tout comme un remède pour lutter contre la possession par les mauvais esprits. Le cheval représente l’esprit de la personne qui est possédée, tandis que le génie qui la possède est symbolisé par le cavalier. La particularité de ces petites pièces est le manteau de cuir rembourré qui couvre la structure métallique. Seuls dépassent les pieds et la tête de la monture ainsi que la tête du cavalier. Cette version couverte de cuir est plus rare que les petits cavaliers en bronze ...