Tissus de prestige parmi les objets d' art africain Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il avait précédemment initié les ...
Voir la fiche Panneau d'étoffe Ntcak Nuseha (Mapel) Bushoong
120,00 €
Ex-collection art africain belge. Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur un fond brun de faible épaisseur des motifs gris foncé et bleu sombre sont tracés avec régularité. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Bordures élimées, écartement des fibres au niveau des noeuds de l'écorce.
Voir la fiche Etoffe Pongo des pygmées d'Ituri
Vendu
Collection art africain belge Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa,principalement, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou reprenennent les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du ...
Voir la fiche Etoffe Nshak, Ncak, Bushoong Kuba
L' art africain et le raffinement du tissage Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage du velours. Il avait précédemment initié les ...
Voir la fiche Panneau tissé Shoowa des Kuba du Kasaï
L' art africain et le raffinement du tissage Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe ...
Voir la fiche Panneau velours Shoowa du Kasaï
Collection art africain belge Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces nattes de prestige, enroulées, sont constituées d'un textile dense et serré tissé en fibres de raphia. Elles prenaient valeur de monnaie, ou pouvaient encore intervenir dans le paiement de la dot. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il avait précédemment initié les Kuba à l'art de la forge. Ce sont les hommes qui assouplissaient les fibres de jeunes palmiers et d'écorces pour en tirer de longs filins, ce qui constituait un exercice délicat et laborieux qui prenait plusieurs mois. Les broderies étaient ensuite l'apanage des femmes, originellement de femmes enceintes. Ce sont les femmes ...
Voir la fiche Lot de monnaies en nattes de raphia tissé
Collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire à la texture dense, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture au toucher ...
Voir la fiche Etoffe Pongo des pymées d' Ituri
Collection art africain belge Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire épais, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, des traits reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture ...
Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, des traits reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture épaisse au toucher laineux. Les ...
Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il avait précédemment initié les ...
Voir la fiche Etoffe Ntcak Nuseha (Mapel) Bushoong Kuba
Voir la fiche Etoffe Ntcak Nuseha Bushoong Kuba
Voir la fiche Panneau velours Showa du Kasaï
Ex-collection art africain belge L' art africain et le raffinement du tissage Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage du ...
Voir la fiche Panneau tissé Shoowa du Kasaï
Ex-collection art africain belge L' art africain et le raffinement du tissage Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba ...
Voir la fiche Panneau tissé Shoowa Kuba du Kasaï
Ex-collection art africain française Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés renvoient aux scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du ...
Voir la fiche Etoffe Kuba Ntcak Nsueha Bushoong
Collection art tribal africain belge.L'art africain et le raffinement du tissage Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba ...
Ex-collection art africain belge. Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire à la fibre dense et veloutée, des motifs linéaires ont été tracés sur le fond clair. Petits trous à hauteur des noeuds de l'écorce. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de ...
L'art africain et le raffinement du tissage Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays ...
L' art africain et le raffinement du tissage Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays ...
Voir la fiche Panneau tissé Showwa Kuba du Kasaï