Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées en kaki sur fond clair, un trait reliant chacun d'eux, et dont l'extrémité s'achève parfois en boucle. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. ...
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Vendu
Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, un trait reliant chacun d'eux, formant parfois une boucle à son extrémité. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Les fibres s'écartent au niveau d'un noeud de ...
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Ex-collection art tribal française.Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il ...
Voir la fiche Tapis Kuba Ntcak nsueha Bushoong
Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire à la texture dense, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture au toucher ...
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150,00 €
Ex-collection art africain belge. L'art africain et le raffinement du tissage Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui ...
Voir la fiche Panneau tissé Shoowa du Kasaï
Ex-collection art africain belge.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, des traits reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture au ...
L'art africain et le raffinement du tissage Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, sous-groupe Kuba , ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia sur laquelle des fils sont coupés à ras, formant un effet velours accentué par les contrastes de ton. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au ...
Voir la fiche Velours Kuba du Kasaï
Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba. Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il avait précédemment initié les ...
Voir la fiche Etoffe Ntcak Nuseha (Mapel) Bushoong Kuba
280,00 €
Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire sur lequel apparaissent les noeuds de l'écorce, le graphisme est formé de motifs lignés tracés sur un fond brun. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. ...
120,00 €
Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire dont les fibres s'écartent localement, des grilles et des motifs étoilés ont été tracées sur le fond clair, un trait reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Les Mangbetu, en contact avec les pygmées Asua, produisaient un ...
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Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des graphismes parallèles ont été tracés sur fond clair. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. La fibre est percée au niveau de deux noeuds de l'écorce. Les Mangbetu, en contact avec les pygmées Asua, ...
Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des traits parallèles de couleur kaki clair, de différents formats, ont été tracés sur le fond clair, des lignes reliant chacun d'eux et se terminant parfois par une boucle, l'ensemble formant une grille décorative. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants ...
Voir la fiche Velours Kuba Shoowa du Kasaï
Ex-collection art africain belge.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur fond clair, un trait reliant chacun d'eux, formant une boucle à son extrémité. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Les Mangbetu, en contact avec ...
Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des traits parallèles de différents formats ont été tracés sur le fond clair, des lignes reliant chacun d'eux, formant une composition décorative. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les ...
Tissus de prestige parmi les objets d'art africain Kuba Produits au Zaïre par les Shoowa, Bashoowa, principalement, sous-groupe Kuba, ces étoffes formant de véritables tableaux d'art premier, sont constituées d'une base textile en raphia. Les motifs géométriques formés représentent les scarifications corporelles de l'ethnie ou les décorations des sculptures. Ces étoffes raffinées étaient destinées à être utilisées à la cour royale, en tant qu'assise ou de couverture, afin de rehausser son prestige. Elles prenaient dans bien des cas valeur de monnaie, ou suivaient aussi leurs propriétaires dans la tombe en couvrant le corps du défunt. Ce fut le roi Shamba Bolongongo qui aurait introduit au XVIIe siècle au pays Kuba la technique du tissage. Il avait précédemment initié les Kuba à ...
Voir la fiche Etoffe Kuba Ntcak nsueha Bushoong
Ex-collection art africain belge.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire au toucher doux, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, des traits reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. ...
Ex-collection art tribal africain belge.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire les motifs lignés forment un réseau de quadrillages gris noir animé de quelques graphismes en étoile. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture ...
Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, un trait reliant chacun d'eux, formant parfois une boucle à son extrémité. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées de l'Ituri s'adressent à Dieu. Les Mangbetu, en ...
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Ex-collection art africain belge.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, des traits reliant chacun d'eux. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées Mbuti de l'Ituri s'adressent à Dieu. Texture ...
Ex-collection art africain suisse.Produites par les pygmées de la forêt de l'Ituri en République Démocratique du Congo, ces étoffes tissées en fibres d'écorce de ficus étaient peintes par les femmes. Les hommes coupaient le bois et martelaient l'écorce, et les femmes utilisaient généralement une décoction de gardenia mêlée à de la cendre de charbon pour dessiner à l'aide des doigts ou de tiges végétales des motifs similaires aux tatouages arborés par les membres de la tribu. Sur cet exemplaire, des grilles de différents formats ont été tracées sur le fond clair, un trait reliant chacun d'eux, formant parfois une boucle à son extrémité. Le rythme et l'espace créé entre les différents signes auraient également un lien avec les chants polyphoniques grâce auxquels les pygmées ...