Ex-collection d' art africain belge. Symbole de l' ancêtre africain mythique vraisemblablement associée aux cultes de fécondité, cette figure de femme portant une mitre arbore des scarifications sur les épaules. Ces entailles effectuées à l'aide d'aiguilles, de couteaux et de rasoirs, étaient ensuite enduites de charbon ou de cendres afin d'accélérer la cicatrisation et former des motifs saillants. Les Yombe ornaient également leurs textiles, nattes et pagnes, de losanges en relation avec des proverbes glorifiant le travail et l'unité sociale. Le nourrisson incarnerait la transmission matrilinéaire du pouvoir. Patine sombre satinée. Au XIIIème siècle, le peuple Kongo, conduit par son roi Ne Kongo, s'installa dans une région à la croisée des frontières entre ...
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180,00 €
Cette statuette d' art africain dogon, sculptée dans un bois dense, incarnerait un ancêtre féminin présentant un nourrisson. Témoin de l'influence de l'islam dans la région, son collier d'amulettes, ou korte Patine granuleuse beige grisée. Fissures de dessication. Ces statues, incarnant parfois le nyama du défunt, sont placées sur des autels d'ancêtres et participent aux différents rituels dont ceux des périodes de semences et de récoltes. Parallèlement à l'islam, les rites religieux dogon s'organisent autour de quatre cultes principaux : le Lébé , relatif à la fertilité, sous l'autorité spirituelle du Hogon ,le Wagem , culte des ancêtres sous l'autorité du patriarche, le Binou invoquant le monde des esprits et dirigé par le prêtre du Binou, et la société des ...
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260,00 €
Cette sculpture d'art africain dogon, taillée dans un bois dense, personnifie un ancêtre féminin. Elle siège sur un tabouret, un enfant sur les genoux. Le collier d'amulettes, ou korte , qu'elle porte autour du cou et qui renferme des versets du coran, témoigne de l'influence de l'islam dans la région. Belle patine mate. Surface granuleuse, abrasée. Fissures de dessication. Acquise après 1950 par le propriétaire dans une galerie allemande. Ces statues, incarnant parfois le nyama du défunt, sont placées sur des autels d'ancêtres et participent aux différents rituels dont ceux des périodes de semences et de récoltes. Parallèlement à l'islam, les rites religieux dogon s'organisent autour de quatre cultes principaux : le Lébé , relatif à la fertilité, sous l'autorité ...
280,00 €
Ex-collection art africain belge.Figure féminine associée à l'ancêtre mythique féminin, et qui interviendrait sur la fécondité humaine et la fertilité des terres. Le visage forme une réplique miniature du puissant masque mukishi wa pwo nyi cijingo ca tangwa coiffé de la kambu ja tota. ("Chokwe and Their Bantu Neighbours" Rodrigues de Areia.) br> Patine claire dorée. Eclat sur la bouche. br>D'origine Lunda, les Lwena , Luena, émigrèrent d'Angola vers le Zaïre au XIXe siècle, repoussés par les Chokwe. Quand certains devinrent marchands d'esclaves, d'autres, les Lovale, trouvèrent refuge en Zambie. Leur société est matrilinéaire, exogame et polygame. Les Lwena se sont fait connaître pour leurs sculptures incarnant des figures d'ancêtres et de chefs décédés, et leurs masques ...
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Vendu à 240.00 € Trouver un objet similaire
Ex-collection art africain belge. Les motifs linéaires parcourant cette statuette africaine renvoient aux peintures traditionnelles de l'ethnie, inspirées des tatouages des pygmées voisins Asua et qui évoluaient selon les circonstances. Chez les Mangbetu dès le plus jeune âge, les enfants des classes supérieures subissaient par ailleurs une compression de la boîte crânienne, maintenue serrée par des liens de raphia. Plus tard, les cheveux étaient «tricotés» sur des brins d'osier et un bandeau enserrait le front afin de faire ressortir les cheveux et constituer cette coiffe majestueuse accentuant l'élongation du crâne. Les anciens nomment beli les figures anthropomorphes incarnant des ancêtres, stockées à l'abri du regard, et comparables à celles appartenant à leur société ...
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240,00 €
Collection art africain française. Effigie africaine féminine d'un "génie de la nature", représentée par cette maternité dans une position assise. Une coiffe agencée en multiples coques, des scarifications parsemées sur le corps, des bracelets, colliers de fines perles, et la vigueur de mollets adaptés au travail agricole, font partie des traits de la statuaire baoulé. Deux types de statues sont produites par les Baoulé dans le cadre rituel: Les statues Waka-Sona, " être de bois " en baoulé, évoquent un assié oussou, être de la terre. Elle font partie d'un type de statues destinées à être utilisées en tant qu'outil médium par les devins komien, ces derniers étant sélectionnés par les esprits asye usu afin de communiquer les révélations de l'au-delà. Le second type de statues ...
Voir la fiche Statue Baoulé Asie Usu
Ex collection art africain belge. Les Yombe sont un sous-groupe de l'ethnie Kongo. On reconnait dans leur statuaire les canons stylistiques kongo tels que les yeux incrustés de morceaux de verre ou de miroir donnant vie à l'objet en plus du réalisme global des traits et des proportions. La fécondité et la descendance, thèmes centraux des cultures africaines, sont abordés au travers de cette maternité ou phemba. La mère est assise et tient dans ses bras un enfant. La patine est lisse et donne dans les tons acajou. La mère est parée de colliers et bracelets sculptés. La coiffe est gravée de fins motifs géométriques. Au XIIIème siècle, le peuple Kongo, conduit par son roi Ne Kongo, s'installa dans une région à la croisée des frontières entre ...
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Vendu à 120.00 € Trouver un objet similaire
Ex-collection art africain française.Sculptée dans un bois dense et ornée selon des critères esthétiques permettant de "capter" l'esprit auquel le médium ou le guérisseur s'adresse, cette maternité enduite d'argile blanche, présentant la morphologie galbée des statues Nkpasopi , dispose d'une somptueuse coiffure organisée en chignons. Elle maintient les jambes dodues d'un enfant agrippé à son dos. Ce type de statues étaient évaluées d'après l'efficacité des rites les mettant en scène. Dans la plupart des cas, ces statues servaient de médiateur entre les guérisseurs et les esprits qui s'emparaient d'eux, et elles sont encore utilisées de nos jours. Légères fissures de dessication. Les populations lagunaires de l'Est de la Côte d'Ivoire comprennent majoritairement les Attié, ...
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Vendu
Ex-collection d' art africain britannique. Statue africaine naturaliste polychrome de type yoruba. La communication avec l'au-delà reposait sur une figure maternelle incarnant pour le peuple yoruba l'une des nombreuses déesses féminines, la déesse de la terre Onilé ("propriétaire de la Maison"), garante de la longévité, la paix, et des ressources, et liée à la puissante société Ogboni chez les Yoruba Egba et Ijebu. Elle pourrait incarner par ailleurs Orunmila , déesse de la divination. Destinée à trôner sur un autel, ce type de sculpture était vénérée par les membres de la puissante société Ogboni, ou Osugbo, chargée de la justice. Patine croûteuse abrasée, fissuresq de dessication. Centrée sur la vénération de ses dieux, ou orisà, la religion yoruba s'appuie ...
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380,00 €
Collection art africain belge. Divers groupes établis autour de la Benue, Afo, Idoma, Igala, ont produit des statues de maternité relativement similaires, ce qui rend délicat l'attribution de leur appartenance. Ce type de statuette africaine d'autel, relevant d'un culte très répandu chez les Idoma animistes comme chez les Igala et les Yoruba du Sud, est censée favoriser la fécondité et protéger la descendance. Ces statues qui bénéficiaient d'offrandes étaient conservées dans des sanctuaires. Etablis à proximité de l'estuaire du Niger, parlant une langue kwa , les Igala formèrent un puissant royaume jusqu'à la colonisation qui en marqua le déclin par l'interdiction des fêtes et le suicide du roi ou ata . Dépourvue de scarifications, la figure féminine siégeant sur un ...
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Ex-collection art africain belge. Figure féminine africaine que le poids d'un enfant, au dos, semble incliner. Le visage présente la traditionnelle déformation des lèvres due au labret. Les tatouages étaient tracés à la cire d'abeille, et des motifs scarifiés étaient également réalisés dans un but esthétique. Ces statues symbolisant un ancêtre se réfèreraient à la création, selon laquelle le premier homme makonde aurait sculpté une image féminine qui devint la mère de ses enfants et qui est vénérée depuis. Patine noire érodée, fissures de dessication et manques. Les Makonde, population Bantou matrilinéaire du nord du Mozambique et du sud de la Tanzanie, portaient des masques-casques appelés lipiko, mapiko , lors des cérémonies d'initiation des jeunes gens. Les ...
Voir la fiche Figure de maternité Makonde Lisinamu
Ex-collection art africain belge Les miniatures sculptées des clans kongos du nord-est du Mayombe. Le petit groupe Kunyi, entouré des Beembe, Yombe et Lumbu en République Démocratique du Congo, est réputé dans l'art africain pour ses statuettes miniatures incarnant des ancêtres fondatrices ou cheffes de clan, nombre d'entre elles étant représentées agenouillées. Cette figure féminine de type figuratif porte une coiffe divisée en trois lobes tressés, sur son visage s'inscrivent des chéloïdes linéaires en damiers, et de nombreux bracelets garnissent ses poignets. L'enfant qu'elle maintient au dos offre des proportions exagérées. Patine brillante brun foncé orangé, fissures de dessication et manque (pied de l'enfant).
Voir la fiche Statuette Lumbu / Kunyi
290,00 €
Ex-collection art africain belge. Sculpture africaine réaliste de type Kongo nommée Phemba ou Pfemba. Il s'agit de l'ancêtre du clan, figure féminine médiatrice. Le nourrisson incarnerait la transmission matrilinéaire du pouvoir. Les scarifications parsèment le dos de la mère. Les Yombe ornaient en effet leurs textiles, nattes et pagnes, de losanges en relation avec des proverbes glorifiant le travail et l'unité sociale. Le regard vitré symbolise la clairvoyance. Patine lisse noire aux reflets grenats. Erosions. Clan du groupe Kongo , les Yombe sont établis sur la côte occidentale africaine, dans le sud-ouest de la République du Congo et en Angola. Leur statuaire comporte de remarquables maternités. L'usage de ce type de sculptures demeure méconnu. ...
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Ex-collection art africain luxembourgeoise. Figure africaine d'autel relevant d'un culte très répandu chez les Idoma animistes de même que chez les Igala et les Yoruba du Sud, censé favoriser la fécondité et protéger la descendance. Ces statues qui bénéficiaient d'offrandes étaient conservées dans des sanctuaires. Le buste porte les motifs associés aux scarifications et tatouages tribaux traditionnels. Polychromie granuleuse mate. Les Idoma habitent au confluent de la Bénué et du Niger. Au nombre de 500 000, ce sont des agriculteurs et des commerçants. On trouve dans leur art et leurs coutumes des influences Igbo, de la Cross River et Igala et il est souvent difficile de les distinguer de leurs voisins. Les membres de lignage royal de leur société oglinye, ...
Voir la fiche Figure de maternité Idoma
Cette sculpture d' art africain était vouée à trôner sur un autel. Facilitant la communication avec le sacré, elle rappelle symboliquement à la divinité ses devoirs envers les hommes. Coiffée d'un chignon natté, elle arbore les chéloïdes des nobles Yoruba, marqueurs distinctifs de la statuaire tribale Yoruba. Patine lisse brun grisé. Fissures de dessication. Les royaumes d' Oyo et Ijebu sont nés suite à la disparition de la civilisation Ifé et sont toujours à la base de la structure politique des Yoruba. Les Oyo créèrent deux cultes centrés sur les sociétés Egungun et Sango , toujours actives, qui vénèrent leurs dieux, les Orisa , à travers des cérémonies faisant appel à des masques, statuettes, sceptres et supports de divination. Les principaux cultes Yoruba ...
Voir la fiche Figure de maternité Yoruba
Ex-collection art africain française. Symbole de l' ancêtre africain mythique vraisemblablement associée aux cultes de fécondité, cette figure de femme portant une coiffe de dignitaire s'entoure de différents sujets. Des scarifications en losanges couvrent le dos du personnage. Ces entailles effectuées à l'aide d'aiguilles, de couteaux et de rasoirs, étaient ensuite enduites de charbon ou de cendres afin d'accélérer la cicatrisation et former des motifs saillants. Fissures de dessication. Patine satinée bicolore. Au XIIIème siècle, le peuple Kongo, conduit par son roi Ne Kongo, s'installa dans une région à la croisée des frontières entre l'actuelle RDC, l'Angola et le Gabon. Deux siècles plus tard, les Portugais entrèrent en contact avec les Kongo et convertirent leur roi ...
Voir la fiche Sculpture de maternité Yombe Nionga
Collection art africain belge. Maternité africaine figurant un personnage portant un enfant. Les yeux sont incrustés de perles tandis que de larges oreilles encadrent une physionomie neutre. Patine rugueuse, incrustations résiduelles ocrées. Cette pièce d'art tribal provient de la région nord-est de la Tanzanie, limitrophe du Kenya, face à l'Océan Indien, où vivent les tribus Paré, Shamba, Zigua, et Mbugu. Une relative homogénéité caractérise les productions de ces groupes, en rappelant certaines des Malgaches et des Bataks avec lesquels, via le commerce maritime, le contact aurait jadis pu être établi. Cette sculpture était vraisemblablement utilisée dans un but didactique lors des initiations masculines. Elle pourrait aussi incarner un ancêtre ou un esprit. Litt. ...
Voir la fiche Maternité Zigua
Collection art africain belge Parmi les regalia des chefs, ce type de maternité africaine Kongo incarne, d'après les scarifications du buste, l'ancêtre du clan, figure médiatrice. L'enfant incarnerait la transmission matrilinéaire du pouvoir. Les Yombe ornaient leurs textiles, nattes et pagnes, de losanges en relation avec des proverbes glorifiant le travail et l'unité sociale. La bouche dévoile des dents limées, le regard indique la capacité de l'aïeule à discerner les choses occultes. L'usage de ce type de sculptures demeure méconnu. Elles formaient fréquemment le motif sculpté au sommet des cannes de chefs. Patine satinée. Cassures, érosions. Clan du groupe Kongo , les Yombe sont établis sur la côte occidentale africaine, dans le sud-ouest de la ...
Voir la fiche Statue Kongo Yombe
85,00 €
Ex-collection art africain française. Figure africaine féminine assise, allaitant son enfant. Le cou annelé, agrémenté de nombreux colliers, supporte une tête au port altier, coiffée d'un chignon en pointe, témoin de son rang. Des ceintures perlées soulignent également la taille et les chevilles du sujet. Le siège est de type royal Ashanti. Patine noire, restaurations indigènes, petits accidents, manques (base). Nommés Pakhalla par les Dioula, les Koulango, Kulango, formaient les Loron dans le territoire voltaïque. Les chefs Dagomba du royaume de Bouna les auraient ensuite qualifiés de " Koulam " (singulier : koulango , sujet, vassal). Leur histoire complexe a engendré une culture non moins complexe. C'est entre le Burkina Faso et le Comoé, au nord est de la ...
Voir la fiche Figure de maternité Kulango
220,00 €
Ex-collection art africain française. Figure africaine hermaphrodite d'autel dogon, représentée frontalement, une coupe sur la tête et les mains accolées à hauteur du bas-ventre. Une miniature féminine apparaît en relief sur le dos de la femme. Intéressante patine grisâtre, localement incrustée de dépôts granuleux. Fissures de dessication. Sculptées pour la plupart sur commande passée par une famille, les statues Dogon peuvent aussi être l'objet de cultes de la part de toute la communauté. Leurs fonctions demeurent cependant peu connues. Parallèlement à l'islam, les rites religieux dogon s'organisent autour de quatre cultes principaux : le Lébé, relatif à la fertilité, sous l'autorité spirituelle du Hogon, le Wagem, culte des ancêtres sous l'autorité du patriarche, le ...
Voir la fiche Figure de maternité Dogon
450,00 €
Ex-collection art tribal africain française.Pour les Baoule, apercevoir les organes génitaux d'une femme peut être fatal pour un homme. La représentation d'une figure féminine, nue, non voilée d'un pagne d'étoffe, forme une menace. Elle est probablement l'incarnation d'une déesse féminine. Représentée assise, présentant un enfant, la femme arbore les cicatrices chéloïdes traditionnelles, des colliers en perles de verre et une coiffure dont les tresses ciselées sur le bois forment d'amples coques. Patine brun foncé brillante. Manque à la base. Deux types de statues sont produites par les baoulé dans le cadre rituel : Les statues Waka-Sona, " être de bois " en baoulé, évoquent un assié oussou, être de la terre. Elle font partie d'un type de statues destinées à être ...